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À MON PROPOS
MON PARCOURS

Née au milieu d’une famille nombreuse, j’ai emmagasiné tôt toutes sortes d’histoires de vie tout en me demandant comment j’allais réaliser, dans la mienne, la lumière que je savais m’habiter. J’ai travaillé en animation sociale par le cinéma, ai fondé une famille et navigué ses hauts et ses bas en vivant le retour à la terre.

Riche de ces expériences, j’ai poursuivi en étudiant la musique (U. Laval), en l’enseignant et en faisant partie de quelques groupes de musique ancienne ou traditionnelle. C’est par ce biais que je suis venue au conte, en montant et diffusant des spectacles et des ateliers de contes avec musique, en collectif,  dans la grande région de Québec et à travers la province (Cornebrise et Artistes à l’école). Puis, le conte lui-même a pris toute la place, s’alliant toutefois avec le chant traditionnel, une autre façon de porter des histoires à l’oreille et au cÅ“ur.

MA DÉMARCHE
CE QUE JE FAIS

Je cherche dans le répertoire traditionnel les chants et les contes qui, parce qu’ils m’interpellent, m’amènent dans une vibration qui se partage. Je raconte aussi des histoires de mon cru. Depuis 1999, j’ai entrepris avec le Théâtre du Contre-Courant, à Québec, et Lethal, en Ontario, une recherche sur la présence à travers le travail de la voix et du corps. 

C’est dans  la poursuite assidue de cette recherche que je trouve les filons qui me font habiter les contes que je choisis de partager.  Je suis à l’affût de tout ce qui permet, dans le conte, le contact de cœur à cœur avec le public : la nature et la forme du récit, la mobilité du corps et la résonance de la voix, le rire qui surprend et l’émotion partagée.

 J’ai conté dans des festivals (Jos Violon, Grandes Gueules, Mémoire et racines,De la Parole au Conte et Chés Wèpes en France, Boca de Céu au Brésil), des salles de spectacles, des bibliothèques, des librairies et des cafés, des vieux moulins, des centres culturels ou des centres pour femmes, des garderies, un centre famille et des classes du primaire, du Cegep ou de l’Université, autour d’un feu pour des groupes en immersion francophone, en haut d’une montagne pour des excursionnistes au flambeau. Le plus petit endroit où j’ai conté sous la pluie était une tente pour deux avec dedans 4 enfants, un chien et moi.

Depuis 2011, j'ai donné en France, au Brésil et au Québec des ateliers sur le travail avec le corps et de la voix en vue de la présence dans le conte.

Je fais du coaching pour les conteurs qui me le demandent. Ponctuellement, j'ai organisé à Québec de sessions d'entraînement corps et voix pour des artistes du conte.

 EN PHOTOS
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